Tendance scientifique :
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1 - éditorial :
par : wail M'taoui .le 11/03/2013
Durant notre préparation de turtle innovation, j’ai assisté à des conférences scientifiques interdisciplinaires, dans l’objectif de recueillir des informations qualifié, qui vont nous permettre une adaptation de notre produit avec les exigences du 21émes siècles sur le plan sociotechnique.
Récemment, je me suis déplacé à Harvard university pour assister à une conférence sous le thémes : « wish technologie for digital natives » ,un rendez vous scientifique qui à féderé différents intervenants en science d’information et la communication et en sociologie d’usage des TIC.
les chercheurs ont présentés des nouvelles recherches en analysant les différentes formes d’usage des nouvelles technologies qui s’adapte aux critères des digitales natives[1].
Donc la fracture numérique, été un sujet de débat qui nous intéresse plus car notre produit tente via la technologie de « SM voice » commande vocaux et les écrans tactile qui pouvaient aider les gens qui ont des possibilités physique limité à manipuler sur des interfaces d’ordinateur manuelle.
Dans sa présentation Michèle Hudon , le professeur de l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information Université de Montréal,, spécialiste en sociologie d’usage des appareils ,à éxpliquer que la technologie du web 2.0 à apporter une dimension sociale ,au dispositifs connecté à internet , en socialisant les les sites web afin d’assurer une sorte d’interactivité entre l’éditeur du contenue et le visiteur de çe derniers l’.[2]
De sa part Hangsub Choi,le directeur a cadré l’épistémologie d’usage des technologie d’information et de la communication en montrant que pendant Ces dix dernières années, la technologie de l’information représentée par l’Internet et le téléphone portable s’est développée à grande vitesse. Les foyers qui se sont abonnés à l’Internet dépassent actuellement les trente millions, soit neuf foyers sur dix. Il devient désormais difficile de parler du travail et du loisir, c’est-à-dire de l’ensemble de la vie quotidienne, sans avoir recours à l’Internet. Quant au téléphone portable, la situation est telle que, même sans en avoir positivement besoin, on est presque forcé d’en posséder un pour rester en contact avec les autres et ne pas être finalement exclu de certains réseaux humains.
6Cette expansion de la technologie de l’information exerce une grande influence dans les divers domaines de la société coréenne, et notamment dans les réseaux humains. Certes, il existe plusieurs facteurs qui influencent la formation et le maintien des différents réseaux d’appartenance sociale, parmi lesquels on peut citer le caractère humain, l’histoire de la famille, les catégories et niveaux d’écoles, le pouvoir économique et culturel, etc. Je me permets de mettre ici l’accent sur le fait que la formation et le maintien des réseaux sont de plus en plus influencés par la technologie de l’information.[3]
7Alors que les technologies de l’information sont généralement appréciées comme des outils qui permettent de mieux gérer les réseaux humains et l’appartenance à ces réseaux, certains voient dans leur utilisation un risque important d’isolement des êtres humains. Considérant que le cyberespace offert par l’Internet ouvre un espace en quelque sorte irréel et en tout cas écarté de la réalité, ils s’inquiètent devant des développements technologiques qui ne servent pas la vraie relation humaine.
Dans le cadre du développement de notre produit ( turtle innovation ) ,j’ai fais tout à long de cette activité académique un recueille d’information sur les septicités de cette nouvelle génération « Y » pour adapter un produit performant qui répond à ses besoins quotidiens en multipliant les choix d’usages en s’accentuant bien également sur les secret scientifique de l’innovation d’un appareil avec une intelligence artificiel moderne .
bibliographie
[1]jacques Kerneis ; Les natifs numériques profitent-ils de la convergence ?; Constats nuancés et pistes de réflexion pour les éducateurs, revue :Études de communication2012/1 (n° 38)228 p
[2] Michèle Hudon ; Organisation des connaissances et des ressources documentaires De l’organisation hiérarchique centralisée à l’organisation sociale distribuée, Les Cahiers du numérique ;2010/3 (Vol. 6) ;212 pages ;Editeur :Lavoisier ;I.S.B.N. 9782746232556.
[3] Hangsub Choi[ ;Technologie de l’information et réseaux humains. Quelques réflexions ; http://www.cairn.info/revue-societes-2005-3-page-105.html.
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2- technologeek au service de l'humanité :
Le laboratoire de recherche et developpement de technologeek innovation (RDT) sur bordeaux , travaille depuis plusieurs années sur la conception de robots intelligents. Le 17 juillet dernier, elle a ainsi présenté plusieurs de ses spécimens robotisés mis au point par les six instituts qu'elle regroupe. Le directeur de l'Institut de bio-robotique de la RDT, le professeur steven karol, explique que, désormais, "l'idée est de sortir les robots des usines, où ils ont fait leurs preuves, pour les transformer en machines domestiques, capables de cohabiter avec l'homme". A cet égard, le chercheur dirige un projet intitulé "Les robots compagnons des habitants" (The Robot Companions for Citizens), financé par l'Union européenne à hauteur d'un milliard d'euros sur 10 ans.
Parmi les robots déjà mis au point par la RDT, l'un des plus impressionnants est le robot Dustcart. Ce cousin du fameux TURTLLE se déplace lui-aussi sur roulettes et est bardé de scanner-laser et de senseurs de proximité. Il agit de plus comme un véritable serviteur de l'homme, répondant au moindre appel téléphonique de celui-ci afin de venir récolter ses déchets. Il suffit en effet de prendre rendez-vous par téléphone avec le robot pour que celui-ci arrive dans votre rue à l'heure voulue, ouvre un tiroir dans lequel déposer vos ordures en spécifiant leur type, et s'en aille à la décharge.
Cet humanoïde[1] a déjà été "testé pendant deux mois avec quinze familles dans une commune voisine", déclare ticharito max, l'un des auteurs du projet. Cité par l'AFP, celui-ci souligne cependant qu'il reste du travail à réaliser : "Tout a bien fonctionné mais il y a encore des problèmes à résoudre. D'abord il est lent, pour des raisons de sécurité, et il bloque parfois la circulation. Ensuite, légalement, il ne peut pas circuler sur route car il n'y a pas encore d'assurance possible pour ce genre de robot en cas d'accident".
Les robots, futurs secouristes ?.
Un autre robot, prénommé Sabiano, est capable de calculer un parcours jusqu'à une cible en surmontant ou en contournant des obstacles, comme l'explique l'ingénieur bio-médical Davide donga. Cet exploit est réalisable grâce à la tête humanoïde du robot dans laquelle se situe un "centre de gravité" qui collabore avec des "yeux" (en réalité, deux caméras) et des logiciels gérés par trois ordinateurs intégrés. Ce robot-ci serait très utile pour les secouristes notamment. Il pourrait par exemple les aider à retrouver des victimes de séismes sous des décombres. Un pan de mur écrasant une victime pourrait également être soulevé par une future main bionique dont les secouristes se serviraient.
Une innovation qui va toujours plus loin
Mais les ingénieurs et chercheurs de la cellule de recherche et developemment de technologeek sont remplis d'idées innovantes et toujours à la pointe de la technologie. Ce sont notamment eux qui ont effectué la connexion internet la plus rapide du monde, à plus d'un térabit par seconde. Celle-ci permet de transmettre l'équivalent de 30.000 films en qualité standard en 1 seconde seulement. C'est également la RDT qui a mis au point un immense théâtre virtuel[2], projetant sur quatre parois les images de 16 projecteurs. Les 16 millions de pixels mis en jeu permettent alors une expérience de la 3D hors du commun.
par wail M'taoui - ingégneur en RDT de technologeek le 11/03/2013 .
bibliographie :
[1]- Emmanuel Grimaud et Denis Vidal ,IRD-URMIS - EHESS ,Aux frontières de l’humain,Pour une anthropologie comparée des créatures artificielles,revue ,Gradhiva;2012/1 (n° 15),240 p,Editeur,Musée du quai Branly .
[2]- Jean-Paul Fourmentraux ,"Le Net art",revue de Médium ;2006/1 (N°6) ;184 pages ;Editeur Association Médium;DOI 10.3917/mediu.006.0048.
Ce document est fictif, son contenue (personnages, missions, invention, entreprise, laboratoire...) ne représente aucun projet d’innovation réel, alors nous avons aucun fin commercial , il s’agit d’un travaille dirigée en écriture scientifique en ligne dans le cadre de notre programme du M1-recherche en information communication à l’université de bordeaux 3.